Chère
Madame, cher Monsieur,
Au matin neuf du 1er
janvier 2012, gonflé(e)
des bonnes intentions qui
nous traversent tous furtivement l’esprit ce jour-là, vous aviez
résolu d’essayer de
comprendre le monde complexe dans lequel nous vivons.
Vous vous étiez promis de vous intéresser de près à l’art
contemporain, vous
projetiez d’éplucher les critiques littéraires des auteurs les
plus rares, vous
pensiez fouiller avec acuité les analyses politiques locales,
nationales et
internationales…
Peut-être même vous étiez-vous
abonné (e)
à ce grand quotidien qui fait autorité, L’Ardennais.
Las, envolées les louables
résolutions ! Les préoccupations quotidiennes,
triviales même, vous ont
rattrapé(e),
submergé(e),
et les numéros
de L’Ardennais
se sont entassés dans un coin du salon, voire des toilettes, sans
que vous ne jetiez même un œil aux articles de fond de ce journal
de référence.
Mais l’un de nos auteurs maison les plus prometteurs s’était
attelé dans l’ombre à un
austère et ambitieux projet : synthétiser, jour après jour,
la substantifique mœlle de L’Ardennais. Nous nous
proposons aujourd’hui de partager avec vous les lumières de ce
fructueux labeur avec cet opus ex-cep-tion-nel : « 2012,
gare la casse ».
Vazi Mary Casse tou !!!!
RépondreSupprimerY a rin d'plu rigooloh ...
Paskâl
et je recolle les morceaux !
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